NOTES

 

Cf. l'Etude sur Shakespeare de Guizot (ouvrage cité, p. CXVII) : « Si, de concert avec Davenant, Dryden avait refait les ouvrages de Shakspeare, Pope, dans l'édition qu'il en donna en 1725, se contente d'en retrancher ce qu'il ne peut se résoudre à regarder comme l'oeuvre du génie auquel il rend du moins cet hommage. Quant à ce qu’il faut bien lui laisser, Shakespeare, dit Pope, forcé de pourvoir à sa subsistance, a écrit pour le peuple, et d’abord sans songer à plaire à des esprit d’une meilleure sorte. »